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Avocat
pour Rupture
Conventionnelle

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Avocat en droit du
travail

Avocat en droit du travail et rupture conventionnelle pour une transition professionnelle sécurisée.

Fort de 45 ans d'expérience et d'une spécialisation en droit du travail, Le Bouard Avocats met son expertise au service des salariés et des employeurs à travers toute la France. Chaque année, nous gérons entre 150 et 200 ruptures conventionnelles, assurant des transitions professionnelles équitables et bénéfiques.

 

Notre intervention couvre les besoins de divers profils, y compris des cadres, des cadres dirigeants, et des salariés, permettant à chacun de maximiser ses avantages dans le respect total de la législation en vigueur.

Notre cabinet s'engage à fournir une assistance juridique de haut niveau, en facilitant des séparations en bon et dû forme. Que vous soyez un salarié cherchant à négocier un départ avantageux ou un employeur souhaitant procéder à une rupture conventionnelle dans les meilleures conditions possibles.

 

Le Bouard Avocats est votre partenaire de confiance pour naviguer dans un processus de rupture conventionnelle avec assurance et expertise.

Pourquoi une rupture conventionnelle ?

La rupture conventionnelle permet de quitter votre poste en accord avec votre employeur, sécurisant vos droits au chômage et valorisant votre contribution à l'entreprise. Cette alternative flexible au licenciement ou à la démission assure une transition professionnelle sereine, vous permettant de partir dans des conditions optimales et de reconnaître vos efforts, même quand les choses ne fonctionnent plus.

Processus de négociation d'une rupture
conventionnelle chez Le Bouard Avocats

01

Consultation initiale

Dès notre premier rendez-vous, nous définissons ensemble vos objectifs et examinons votre situation contractuelle. Cette étape comprend une analyse détaillée de votre contrat de travail, convention collective, votre ancienneté, ainsi que tous les éléments pertinents (évaluations de performance, correspondances avec l'employeur, etc.) qui nous aideront à comprendre pleinement votre situation. Cette revue complète assure que nous sommes parfaitement préparés pour protéger vos droits.

  • Analyse complète des contrats
  • Révision de la convention collective
  • Évaluation des correspondances et chiffrage de votre sortie

02

  • Analyse complète de votre temps de travail

Planification stratégique

Sur la base des informations recueillies, nous élaborons une stratégie sur mesure pour vos négociations. Cette phase inclut la rédaction d'un courrier formel à destination de votre employeur pour initier le processus de rupture. Nous planifions également la meilleure approche pour les discussions, en anticipant les réponses de l'employeur et en préparant des contre-propositions pour renforcer votre position.

  • Rédaction d'actes de procédure
  • Préparation de documents stratégiques
  • Planification de réponses anticipées

Négociation avec l'employeur

03

Les négociations sont menées directement par votre avocat, qui représente vos intérêts face à l'employeur ou son conseil juridique. Cette étape vise à obtenir les meilleures conditions possibles pour votre départ, en se concentrant sur l'indemnité de rupture, les bénéfices additionnels et le respect de vos droits. Les discussions sont menées avec tact et professionnalisme, tout en étant fermes sur les points cruciaux.

  • Représentation lors des discussions
  • Négociation des termes clés
  • Optimisation de l'indemnité de départ

04

Accord et signature

Une fois un accord préliminaire atteint, nous procédons à la finalisation, la rédaction et la vérification méticuleuse de l'accord de rupture. Nous assurons également la sécurisation des fonds sur un compte CARPA, garantissant que toutes les transactions financières sont traitées avec la plus grande sécurité et conformité légale. Cela comprend la signature officielle des documents et la garantie que toutes les clauses sont clairement comprises et avantageuses pour vous.

  • Vérification juridique des accords
  • Sécurisation des transactions financières via la CARPA
  • Assurance de la conformité légale

05

Suivi post-rupture

Après avoir atteint un accord de principe, nous procédons à la finalisation et la rédaction de l'accord. Chaque document est scrupuleusement vérifié pour garantir sa conformité légale, et nous sécurisons les transactions financières via un compte CARPA.

  • Conseils sur la non-concurrence
  • Conseils sur les implications fiscales et sociales
  • Versement des indemnités de transaction via CARPA

Calulette de vos indemnités légales de rupture conventionnelle

Note importante sur la calculette des indemnités légales minimum

Le montant calculé via cette calculette représente le minimum légal auquel un salarié peut prétendre. Ce montant peut souvent être augmenté grâce à l'intervention d'un avocat en droit du travail qui, en analysant en détail la situation, les circonstances de la rupture, et les préjudices subis, peut mieux argumenter en faveur d'une indemnité plus élevée.

 

De plus, la contribution exceptionnelle du salarié à l'entreprise, la situation économique de l'employeur, ou encore des erreurs potentielles dans la procédure de licenciement, sont autant de leviers qui peuvent être utilisés pour renégocier le montant de l'indemnité. De plus, l'intervention d'un avocat permet d'augmenter la latitude de marge de négociation et ainsi obtenir une enveloppe totale plus confortable.

 

Pour une évaluation complète et personnalisée, il est recommandé de prendre rendez-vous avec un avocat spécialisé en droit du travail et rupture conventionnelle. 

FAQ

  • Pourquoi faire appel à un avocat en droit du travail pour une rupture conventionnelle ?
    Réduction du stress : L'avocat en droit du travail prend en charge toutes les négociations et la gestion des documents juridiques, permettant au salarié de se concentrer sur son avenir professionnel sans se soucier des aspects techniques et des éventuels conflits. Enveloppe de départ plus avantageuse : Grâce à son expertise, l'avocat exploite divers leviers juridiques pour négocier une meilleure indemnité, analysant la situation personnelle du salarié et les circonstances de la rupture pour optimiser les termes de l'accord. Sécurisation de l'accord : L'avocat s'assure que tous les termes de l'accord sont clairement définis et légalement contraignants, ce qui protège le salarié contre d'éventuels changements d'avis de la part de l'employeur ou le non-respect des engagements pris. Expertise en droit du travail : Un avocat spécialisé possède une connaissance approfondie des dernières législations et jurisprudences qui peuvent influencer positivement le résultat de la négociation. Neutralité et objectivité : L'avocat agit sans émotion, ce qui lui permet d'aborder les négociations de manière plus objective et efficace, contrairement à un salarié qui peut être émotionnellement impliqué et démuni devant son employeur ou RH. Prévention des litiges futurs : En assurant la conformité légale de l'accord, l'avocat aide à prévenir d'éventuels litiges futurs qui pourraient survenir si l'accord était mal formulé ou incomplet. Conseils personnalisés : L'avocat peut offrir des conseils adaptés à la situation spécifique du salarié, y compris des recommandations sur la meilleure façon de procéder après la rupture (par exemple, des conseils sur les droits au chômage, la réorientation professionnelle, etc.). Assistance lors des procédures administratives : L'avocat peut également aider à naviguer dans les procédures administratives qui suivent une rupture conventionnelle, comme la rédaction des documents nécessaires pour l'inscription au chômage.
  • Existe-t-il une condition d'ancienneté pour bénéficier de l'indemnité de rupture conventionnelle ?
    Non, il n'est pas nécessaire d'avoir une ancienneté spécifique pour prétendre à l'indemnité de rupture conventionnelle. Cette indemnité vise à faciliter la séparation dans un cadre mutuellement convenu, indépendamment de la durée de service du salarié.
  • Comment est calculé le montant de l'indemnité de rupture conventionnelle ?
    Le montant de l'indemnité spécifique de rupture conventionnelle est négocié entre l'employeur et le salarié, mais il ne peut être inférieur à l'indemnité légale de licenciement. Il peut être estimé via notre simulateur en ligne ou en consultant les dispositions plus favorables éventuellement prévues par la convention collective ou l'accord de branche applicable. Exemple : Prenons le cas de Claire, qui est employée depuis 5 ans dans une entreprise du secteur de la communication, avec un salaire mensuel brut de 3 000 €. La loi prévoit que l'indemnité de licenciement soit calculée à partir de un quart du salaire mensuel pour chaque année d'ancienneté jusqu'à 10 ans. Pour Claire, le calcul serait donc : Calcul de l'indemnité légale de licenciement : 5 ans d'ancienneté x (1/4 de 3 000 €) = 5 x 750 € = 3 750 €. Si la convention collective applicable prévoit une formule plus avantageuse, disons un tiers du salaire mensuel par année d'ancienneté, le calcul serait : Calcul selon la convention collective : 5 ans d'ancienneté x (1/3 de 3 000 €) = 5 x 1 000 € = 5 000 €. Lors des négociations pour une rupture conventionnelle, Claire et son employeur conviennent d'une indemnité de 6 000 €, qui est supérieure tant à l'indemnité légale qu'à celle calculée selon la convention collective, reflétant des considérations spécifiques telles que les circonstances du départ.
  • L'indemnité de rupture conventionnelle est-elle soumise à l'impôt sur le revenu ?
    L'imposition de l'indemnité dépend de la situation du salarié vis-à-vis des pensions de retraite des régimes obligatoires au moment de la rupture du contrat. L'indemnité peut être partiellement ou totalement exonérée d'impôt selon les circonstances spécifiques de chaque cas. Si le salarié peut bénéficier d'une pension de retraite : L'indemnité spécifique de rupture conventionnelle est imposable dès le premier euro. Il est essentiel de planifier en conséquence pour comprendre l'impact fiscal de cette imposition. Si le salarié ne peut pas bénéficier d'une pension de retraite : L'indemnité spécifique est en partie exonérée d'impôt sur le revenu. Le montant exonéré inclut entièrement l'indemnité prévue par la loi, la convention collective ou l'accord professionnel. Pour les montants supérieurs à ces seuils, l'exonération est limitée au plus élevé des montants suivants : Deux fois la rémunération annuelle brute perçue par le salarié l'année précédant la rupture du contrat de travail. La moitié du montant total de l'indemnité. Cette structure fiscale vise à faciliter la transition du salarié hors de l'entreprise tout en respectant les cadres légaux pour une exonération fiscale optimale. Exemple : Imaginons un salarié qui reçoit une indemnité spécifique de rupture conventionnelle de 150 000 €, dont 90 000 € sont définis par sa convention collective. La rémunération brute de ce salarié pour l'année civile précédant la rupture du contrat est de 50 000 €. L'indemnité spécifique est exonérée d'impôt jusqu'à la hauteur du montant prévu par la convention collective, soit 90 000 €. Ce montant est supérieur à 50 % de l'indemnité totale perçue (150 000 € / 2 = 75 000 €), mais inférieur au double de la rémunération brute annuelle, qui serait de 100 000 € (50 000 € x 2). Ainsi, l'indemnité est exonérée à hauteur de 100 000 €. Le reste de l'indemnité, soit 50 000 € (150 000 € - 100 000 €), est sujet à imposition.
  • Y a-t-il une contribution patronale spécifique sur l'indemnité de rupture conventionnelle ?
    Oui, une contribution patronale de 30 % est applicable sur la part de l'indemnité exonérée de cotisations sociales. Cette contribution est destinée à financer la Caisse nationale d'assurance vieillesse et est à la charge de l'employeur. Exemple : Supposons qu'un employeur verse à un salarié une indemnité de rupture conventionnelle s'élevant à 100 000 €. Après application des règles d'exonération, supposons que 70 000 € de cette indemnité soient exonérés de cotisations sociales. Sur cette somme exonérée, l'employeur devra payer une contribution patronale de 30 %, ce qui équivaut à 21 000 € (30 % de 70 000 €). Cette somme sera versée à la Caisse nationale d'assurance vieillesse au nom du salarié, contribuant ainsi à son financement. Cette mesure fiscale assure que, tout en bénéficiant d'une exonération de cotisations sociales sur une partie significative de l'indemnité, une contribution responsable est tout de même versée pour soutenir le système de retraite national.
  • L'indemnité de rupture conventionnelle est-elle soumise à des cotisations sociales ?
    L'indemnité spécifique de rupture conventionnelle est partiellement exonérée de cotisations sociales. Voici les détails de cette exonération : Exonération de Base : L'indemnité jusqu'au montant équivalent à celui fixé par la loi, la convention collective, ou l'accord professionnel est entièrement exonérée de cotisations sociales. Seuils d'Exonération Supplémentaires : L'exonération est étendue à deux fois la rémunération annuelle brute du salarié perçue durant l'année précédant la rupture, ou : À la moitié du montant total de l'indemnité versée, selon le montant le plus élevé. Plafond Maximum : L'exonération de cotisations sociales est toutefois limitée à un montant maximal de 92 736 €. Au-delà de ce seuil, toute partie de l'indemnité excédant cette limite est assujettie à cotisations sociales. Cas Particuliers : Si l'indemnité spécifique de rupture conventionnelle dépasse 463 680 €, l'intégralité de l'indemnité est soumise à cotisations sociales, sans aucune exonération applicable. Exemple 1 : Supposons qu'un salarié reçoive une indemnité de rupture conventionnelle de 50 000 €. Si la convention collective de l'entreprise stipule une indemnité minimale de 30 000 € pour de telles ruptures, cette somme de 30 000 € sera totalement exonérée de cotisations sociales selon l'Exonération de Base. Exemple 2 : Imaginons un salarié dont la rémunération annuelle brute l'année précédant la rupture était de 40 000 €. Si cet employé reçoit une indemnité de rupture de 100 000 €, l'exonération s'appliquerait comme suit selon les Seuils d'exonération supplémentaires : Deux fois la rémunération annuelle brute serait de 80 000 €. La moitié du montant total de l'indemnité serait de 50 000 €. Le montant exonéré sera donc le plus élevé des deux, soit 80 000 €, mais ce montant ne doit pas dépasser le Plafond Maximum de 92 736 €. Exemple 3 : Considérons un cas où un salarié reçoit une indemnité de rupture de 200 000 €. La rémunération annuelle brute de l'année précédente était de 70 000 €. Les calculs seraient les suivants : Deux fois la rémunération annuelle brute donne 140 000 €. La moitié du montant total de l'indemnité serait de 100 000 €. L'exonération s'appliquerait jusqu'à 140 000 €, mais elle est limitée au Plafond Maximum de 92 736 €. Ainsi, toute somme au-dessus de 92 736 € serait sujette à cotisations sociales. Exemple 4 : Si un cadre supérieur reçoit une indemnité spécifique de rupture conventionnelle de 500 000 €, en vertu des Cas Particuliers, l'intégralité de l'indemnité serait soumise à cotisations sociales, car elle dépasse le seuil de 463 680 €. Aucune exonération ne serait applicable dans ce cas.
  • La rupture conventionnelle est-elle possible pendant un arrêt maladie ou un congé maternité ?
    La rupture conventionnelle peut être conclue pendant un arrêt maladie ou un congé maternité, mais il est essentiel que la décision soit prise sans pression et en toute connaissance de cause. Par exemple, une employée en congé maternité peut choisir de ne pas retourner au travail pour des raisons personnelles et négocier une rupture conventionnelle. Cependant, l'employeur ne doit pas initier cette démarche durant ces périodes sans l'accord du salarié, pour éviter toute contrainte ou discrimination.
  • Quel est le délai de rétractation pour une rupture conventionnelle ?
    Après la signature de l'accord de rupture conventionnelle, chaque partie (employeur et employé) dispose d'un délai de rétractation de 15 jours calendaires. Pendant ce temps, chaque partie peut revenir sur sa décision sans avoir à fournir de justification. Par exemple, si un employé signe l'accord le 1er du mois, il a jusqu'au 16 à minuit pour se rétracter.
  • La rupture conventionnelle ouvre-t-elle droit aux allocations chômage ?
    Oui, un salarié qui accepte une rupture conventionnelle a droit aux allocations chômage, à condition d'avoir cumulé suffisamment de périodes de travail auparavant (généralement 6 mois de travail sur les 24 derniers mois pour les moins de 53 ans). Par exemple, un salarié ayant travaillé sans interruption pendant les deux dernières années et optant pour une rupture conventionnelle pourra bénéficier de ces allocations.
  • Peut-on négocier des clauses spécifiques dans l'accord de rupture conventionnelle ?
    Il est possible d'intégrer des clauses spécifiques dans l'accord de rupture conventionnelle, telles que des clauses de non-concurrence ou de confidentialité. Par exemple, un employeur peut demander à un salarié de ne pas travailler pour un concurrent direct pendant une certaine période en échange d'une compensation financière supplémentaire.
  • Comment la rupture conventionnelle impacte-t-elle les droits à la retraite ?
    La rupture conventionnelle n'interrompt pas l'accumulation des droits à la retraite tant que les cotisations sociales ont été payées sur l'indemnité. L'indemnité de rupture conventionnelle est soumise à cotisations de retraite jusqu'à un certain plafond, ce qui permet au salarié de continuer à accumuler des droits. Par exemple, si une partie de l'indemnité est exonérée de cotisations sociales, cette partie n'accumulera pas de droits à la retraite.
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